Mais les couleurs de l'image que nous a restituée la sonde ne sont pas celles que verrait l'œil humain. Elles sont légèrement différentes et permettent de voir que la surface de Mercure n'est pas aussi homogène que le laissent penser les images en noir et blanc.
Mercure en fausses couleurs
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Cette image est le résultat de la combinaison de 3 clichés pris dans des filtres différents du visible et de l'infrarouge. Elle accentue la différence des couleurs que l'on devine sur la même image en noir et blanc.
Etudier une surface dans différentes longueurs d'ondes permet de se faire une idée assez précise de la composition de cette surface et des différents types de roches que l'on peut y découvrir. En s'appuyant sur ses informations, et d'autres, les planétologues auront des indices pertinents sur l'histoire de la formation et l'évolution de Mercure.
Même image en noir et blanc
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Cette image a été acquise le 14 janvier à une distance de 27 000 km, 80 minutes avant que Messenger passe au plus près de la planète.